Antennes de Télévision, four à micro-ondes, téléphone portable, smartphone, PC, tablette, systèmes domotiques… nous plongent dans un univers d'odes radioélectriques que nous sommes incapables de percevoir.
Nous avons vu dans les chapitres précédents que les études sur les animaux et l'homme avaient beaucoup de mal à montrer l'éventuelle dangerosité des ondes. Les pouvoirs publics alertés ont édité des règles que suivent les opérateurs ou les industriels. Les collectivités locales dans certains cas se sont munies d'appareils de mesures pour contrôler l'environnement.
Voici, sur la vidéo suivante, l'avis de Martine Hours, présidente du Conseil Scientifique de la Fondation Santé et Radiofréquences, épidémiologiste internationalement reconnue, qui s'exprimaitsur ce sujet en 2009.
Il reste des doutes portant avant tout sur le manque de recul. Mais plus le temps passe, moins les études donnent de résultats probants.
Face à une question fondamentale de ce type, le principe de précaution
est délicat à appliquer, compte tenu du développement énorme des usages.
Les ondes doivent-elles être mises au même rang que d'autres
produits tels que l'alcool, la route ou le tabac et les usages acceptés malgré les
risques?