Le second point est le terminal qui est à la fois récepteur et émetteur. Sa puissance et son D.A.S. sont limités par les normes.
C’est le point le plus contreversé, malgré les nombreuses études, l’impact des ondes radiofréquences sur les humains reste encore mal connu.
Le phénomène le plus simple à comprendre est l’élévation de température au niveau de l’oreille et donc du cerveau comme nous l’avons montré au chapitre propagation des ondes. La photographie suivante est explicite quand à la pénétration des ondes en fonction de l’âge.
Les statistiques actuelles ne permettent pas de déterminer avec certitude les risques en particulier cancérologiques, mais il est clair que les enfants sont plus fragiles alors qu’ils ont tendance à « surconsommer ».
A contrario, des thérapeutiques utilisent l’échauffement des cellules pour guérir certaines maladies (voir ces ondes qui soignent)
Un élément plus important reste l‘exposition fréquente et l’impact sur le long terme en particulier pour les jeunes. Là encore les constats restent flous et montrent qu’il est très difficile de séparer ce qui serait dû aux ondes des autres facteurs environnementaux. Plus le temps passe, plus ces impacts devraient être reconnus. Or depuis 15 ans que la téléphonie mobile est apparue massivement, aucun impact certain n'a été démontré.
On lira avec intérêt un article paru sur ce sujet sur le site de l'Association Française pour l'Information Scientifique: Telephone mobile et tumeurs cerebrales quoi de neuf
Bref, il semble bien que jusqu'ici, seuls deux effets néfastes du GSM aient été formellement avérés : la lecture assidue des rapports sur l'usage du téléphone portable, génératrice de migraines , et l'usage du téléphone portable au volant, générateur d'accidents de la route. Selon la prévention routière il multiplie par 23 les risques d'accident.
La vidéo suivante montre un exemple des études menées sur ces problèmes très complexes